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3 juin 2009

Le Mexique pour la faim


Salut et re-bonjour,

eh oui, bonjour nous voilà de retour! On aura donc tardé 256 jours dans notre périple et ca y est, nous voilà de retour pour de vrai, au milieu de la crise et des angoisses occidentales. Ce dernier morceau de voyage aura été bien particulier entre la menace d'une épidémie mondiale et une vie sédimentaire retrouvée. Flashback...

Les mauvaises influences mexicaines

Arrivés à l'aéroport de Mexico, on avait déjà dans la tête les prochaines sorties avec les amis, les excursions à la plage, 'fin plein de choses super chouettes et amusantes...et puis on a commencé à voir des gens avec des protèges-bouches, comme les docteurs. "Ils exagèrent un peu, non?" me dit Bere, faisant référence à la pollution de la capitale. Ouais, un peu je me dis, mais bon sans prêter plus attention que ça.
Et puis on arrive à la maison des parents (sans les parents qui sont à Budapest, voir ci-aprés), et là en allumant la télé, en appelant les amis, on prend conscience de l'état d'urgence de la situation: fermeture de tous les établissements publics (sauf supermarchés) incluant bars, restaurants et cinémas. "Wouhouuu! On va se marrer dis-donc!".
Ben non, pas vraiment. Entre les amis psychotiques qui s'enferment chez eux et la ville complètement barricadée, restent plus que d'interminables séances de visionnage de films et télé...Pas cool la grippe.

L'échappée de Veracruz

4 jours aprés notre arrivée, c'est le pont de mai: un long week-end de 4 jours où normalement tout le monde s'enfuit à la plage ou à la campagne. Indispensablement, il faut qu'on s'en aille de cette psychose mais les uns aprés les autres, les amis se désistent préférant les barricades à l'escapade. La veille au soir du long week-end, une solution est trouvéé avec un bon ami de Bere et on s'enfuit le lendemain matin, direction Alvarado, état de Veracruz.
Ouf, les gens sont normaux là-bas! La grippe est pas encore arrivée et tous les commerces sont ouverts. Une bonne occasion de découvrir la fantastique cuisine locale à base fruits de mer: délicieux!
L'occasion aussi de revoir la mer et de flâner sur une plage, puisque Alvarado est sur la côte Est du Mexique.
Et puis, l'opportunité de continuer le voyage, de découvrir des villages mexicains colorés et pleins de vie, comme Tlacotlalpan.
Bref, quatre jours de résurrection et de diversion totale, à base de mets fins et de tequilas et toritos "exquisitos". Yihiiiiii!

"Los ruuuuuuuuuuuuudos!"

Retour à Mexico City avec le sourire jusqu'aux oreilles. La psychose est un peu retombée avec des chiffres plus rassurants (plus cohérents aussi) de la grippe A as grippe porcine as grippe mexicaine as influenza AHNHFHGH1 AAAA.
Comme les commerces sont toujours fermés, on décide cette fois de s'échapper avec la famille, dans ce cas le frère de Bere, sa femme et ses deux enfants. Direction Tepotzlan, un petit village encastré dans la sierra à quelques 100 kilomètres de Mexico. Escalade de rochers et dégustation de quesadillas "fantasticas", sorbets divers et autres spécialités culinaires.
Le week-end suivant, c'est la grande soiréé mexicaine qui nous avaient été programmée depuis des semaines par les amis de Bere: "lucha libre" ou lutte libre en français, équivalent du catch américain et trés populaire au Mexique.
La salle est comme une salle de boxe et les spectateurs se prennent vraiment au jeu en criant des obscénités aux lutteurs qu'ils n'aiment pas. Sur le ring, généralement c'est un 3 contre 3 avec d'un côté les "techniques" (técnicos en espagnol) et les "durs" (los rudos). Véritable spectacle chorégraphique, les batailles sont trés bien réalisées et il est impossible de résister à l'ambiance. Du coup, on finit par choisir un camp et par invectiver l'équipe adverse. "Vamos ruuuuuuudos!".

La gastronomie mexicaine no1


Le meilleur du Mexique ca reste quand même la bouffe. Quand le monde entier se réfère à la cuisine mexicaine, on pense au chili con carne, aux burritos...alors qu'en réalité ces plats sont de pures inventions américaines (quoique un bon chili con carne ou un bon burrito comme on a pu le vérifier a SF, c'est quand même vachement bon).
Donc, non, c'est pas vraiment ça la cuisine mexicaine. Revoyons donc les principaux délices qui en font la base:

* les frijoles: les haricots noirs mexicains. Avec juste un peu d'oignons et de chile, à la poêle, une merveille de simplicité, une merveille de saveurs.
* le chile: le piment mexicain. Il y en a de toutes les sortes, de toutes les couleurs, de toutes les saveurs. Certains piquent beaucoup, d'autres presque pas. Moi, je suis fan de la salsa verde et du chipotle.
* los elotes: le mais. Le mais n'est pas sucré au mexique. Rien de meilleur que de manger un mais couvert de mayonnaise, fromage, citron et chile avec son batonnet, dans un marché mexicain!!!
* les tacos: pour faire un taco, on a un besoin d'une tortilla (comme une mini pate a pizza super fine et circulaire). Et c'est à peu prés tout. Tout peut être mangé sous forme de tacos. Mon préféré: un peu de poulet, un peu de fromage, un peu d'avocat, un peu de crême et un peu de chipotle!!! Il existe aussi les tacos de canasta (tu mets tous les tacos dans un panier enfermé dans un chiffon et tu les laisses suer) et les tacos dorados (la tortilla est frite, pas juste chauffée).
* el aguacate: l'avocat, bien sûr! Base du guacamole par exemple, mais vraiment omniprésent au Mexique.
* la quesadilla: dans la tortilla on met une base de fromage, on replie la tortilla et on la fait chauffer, pour que le formage fondu colle. Il existe des quesadillas de toutes les saveurs.

Bon, ça ce sont mes favoris, mais la cuisine mexicaine ne se limite pas qu'à ça. Une des gastronomies les plus authentiques que je connaisse et toujours un délice.

Le retour

Aprés ce mois délicieux donc, au Mexique, nous avons pris le chemin du retour. Arrivés à Madrid cependant, nous sommes repartis pour la dernière excursion du voyage, en Hongrie. A Budapest résident actuellement les parents de Bere, et nous en avons profité pour nous relaxer (encore un peu plus) dans les thermes de Budapest et pour se balader dans cette ville si élégante.
Finalement, le 31 Mai marque notre retour définitif à Madrid.

Et aprés?

Aprés de longues tergiversations et une réflexion de presque un an, on en est arrivé à la décision que c'était le bon moment pour partir de Madrid, avant qu'on s'enlise définitivement dans un rythme diabolique de tapas, ahaha!
Donc actuellement on cherche du travail et un appart...à Berlin! Eh oui, nouveau pays, nouveaux défis, on va voit comme on s'en sort, mais on est optimistes comme toujours!

Donc, en attendant nos prochains voyages, merci à tous ceux qui nous ont suivis et donné des nouvelles...ça donne envie de recommencer!

28 septembre 2008

Low budget travelers traveling VIP class.

Es una dicha poder decir que despues del primer desazon en la cancelacion del vuelo a Bruselas, el resto del viaje ha sido un goce de buenaventura. Primero el recibimiento de Tomas en Bruselas, con transportacion, casa, paseo y borrachera incluida. Al dia siguiente descubrir el placer de viajar en business class, por mas que no queriamos dar el cante o la nota, y actuar de lo maaaaas naturales, pues a uno le sale el cobre de cuna, no? osease, le sale lo naco.

Azafata : Sr. Laroque, se le ofrece un poco de champagne?
Yo: (tss y esta como sabe su nombre?) No no tu di que no por q te la van a cobrar bien carisisima
Azafata: Es una cortesia de la aerolinea, de hecho pueden pedir todo lo que gusten.
Yo: Ahhhh pos por ahi hubieramos empezado, a ver, sirvete dos copas, pero bien servidas eh? nada de hacerse de la boca chiquita.

Y la sirvio en copita de a deveras osease no vasito de plastico si no copita de cristal, y es que como dedujimos despues con la comida, que tambien vino en vajilla veridica y no de plastico, la gente que viaja en business tiene clase, y eso de andar matando a los pasajeros con cuchillos y tenedores de metal, pues es un poco vulgar, la gente business no es maleante, por lo que no hay q preocuparse en dejarles metal. Los de clase turista en cambio, pues no puedes confiar en la plebe, al fin y al cabo es esa gentuza la q es fea y mala, a ellos hay q darles cubiertos de plastico.

Ah! y no esta de mas comentarles q al pedrinos nuestra seleccion de comida para el menu, resulta que no teniamos que elegir una cosa solamente, si no q hubo dos siiii doooos entrantes, un solomillo mas guarniciones y dos postres, ademas de la botella de vino blanco q Mat y yo ya llevabamos encima. Mis finisimos cacahuates de emergencia que siempre llevo para vuelos largos, en los que siempre me matan de hambre, se guardaron para una mejor ocasion. Yo alguna vez fui clase turista, y no se si podre volver a ello.

Los dias en Mexico transcurrieron entre recorrer la ciudad en coche por tramites de norte a sur, 2 horas cada viaje... estar con mis hermanos y sobrinos, y fiestar con los amigos. Una noche, mi primo Pepe, aka El Rey del Congal, despues de terminar la fiesta de cumple 25 de mi prima Lucy, decidio llevarnos a mi y a los cuates a un bonito lugar pa bailar, algo q solo pudiera suceder en Mexico, pa que el franchu conociera, y como el mismo dijo, los bares nice son iguales en todo el mundo, asi q te voy a llevar a un lugar a donde el populo mex se dririge pa pasarlo bomba...al Salon San Luis.

Dicho lugar es un salon de baile forrado de terciopelo rojo, en el que la orquesta toca temas bailables latinos y la gente en la pista baila todo el tiempo, y si el caballero no lleva pareja, no has de preocuparte, para eso estan las ficheras. Las ficheras son unas chicas en "elegantes" vestidos de noche que marcan sus voluptuosiiisimas curvas, que estan dispuestas a compartir una pieza de baile contigo y ensenarte a bailar si es necesario, a cambio de una ficha. La ficha se la compra el caballero interesado al camarero de turno, esta ficha tiene el alto coste de 20 pesos, es decir, 1.30 euros. Nos divertimos un monton, imaginen el sitio y luego imaginen la cara del frances tratando de entender el concepto de lo q estaba pasando, repito muy divertido.

Otro evento memorable fue el partido de los Pumas, mi equipo de futbol, de la Universidad Nacional UNAM, al que asistimos entusiastas y un poco resacosos, pa desgracia nuestra fue el primer partido que perdieron jugando en casa luego de ir primeros toda la temporada, pero compensamos con vasisimos de litro de buena cerveza, q corrian de un lado para otro de la grada. Mat quedo asombrado de que ademas de alcohol se vendiera todo tipo de comida y botana deseada, desde las papas y palomitas, frutas o cueritos con chile, helados, dulces varios, hamburguesas y pizzas, en fin todo un despliegue de productos tranposrtados en bandejas de madera por vendedores que ya expertos en sortear al enfurecido o entusiasta expectador entre las gradas, llega hasta donde estas sentado y tu, sin mover un dedo pasas 2 horas de partido enterititito, cantando, saltando, comiendo y bebiendo a tutiplen. La fiesta postapartido en las islas de la UNAM (los prados junto a Rectoria) fue igual de magnanima, y eso que habiamos perdido.

Toda la Rebel (porra o barra de los Pumas a la que pertenecemos), con tambores y trompetas cantando, los tacos de canasta y las litronas o cahuamas a disposicion de cualquiera, y el Artur, (Rebel de corazon) contandole a Mat las violentas aventuras de como es que la Rebel, fervientes hinchas de los Pumas, se habian liquidado ya a un par de americanistas (el America es el equipo enemigo), y cual era la estrategia para darles su merecido desps del proximo encuentro sin q interviniera la policia. La situacion era un poema,

Mat no sabia si era en serio lo q este chico lleno de tatuajes le estaba contando o si era una novatada por ser primerizo en la hinchada, despues tuve que confirmarle que efectivamente, los Rebels son algo violentos, pero q no se preocupara, estabamos del lado correcto con la gente adecuada. 

Ya en NY, al llegar al edificio donde mi amiga Ana vive y q donde esplendorosamente nos dejo su humilde pisito, empezamos a sospechar que la suerte VIP contibuaria, y es que un edificio en Manhattan enfrente del Empire State, q tenga puerta giratoria con dorman detras ya te dice algo, pero cuando te dan las llaves al Pent House 1A, abres la puerta y tienes todo Manhattan de noche enfrente de ti, es una pasada.
Hemos vivido 5 dias en un apartamento de gente de esas que viaja en Business, que no violenta gente en los aviones con cubiertos de metal y q puede tener un PH en Manhattan. Una pasada.

Pensabamos que lo malo de malacostumbrarnos a esto es que ya pronto volabamos a Singapur (ojala y sea en Busines ojala ojala ojala), y q se nos acabaria el chollo o ganga, pero los amigos que tenemos son tan grandes ellos y nosotros tenemos tanta suerte en tenerlos que Ana ha conseguido que su novio nos deje su piso en Sinagpur.... Asi q tendremos que empezar a oler pies de backpakeros hasta dentro de unos dias, mientras seguiremos disfrutando de la vida VIP.

Mil gracias de nuevo a Tomas, Ana, Felipe, y Rocio por taaanto y tanto. Es tener amigos asi lo que te hace sentir mas VIP, (eso y las copitas de vidrio-veridico de champagne) =D

Ya manana nos vamos a Singapur. Hemos subido tdas las fotos del partido de los Pumas, y las de NY. Las del resto de Mex las deben el Lic y los Castillo Fajardo. Esperamos escribir mas pronto, y a todos gracias por los buenos deseos!!!

23 septembre 2008

Derniers jours au Mexique...



Salut tout le monde!

Demain, c'est déjà l'heure de prendre l'avion pour New York et de laisser les amis et la famille de Bere.

Ca a été assez court étant donné les distances incroyables qu'il faut faire pour chaque activité dans cette ville giiiigantesque!

Je viens de télécharger les photos du match de foot qu'on est allé voir dimanche dernier entre les Pumas et San Luis (défaite 1-0 des Pumas). Les Pumas, c'est l'équipe de la famille et des amis de Bere; l'ambiance est vraiment géniale, très différente des stades européens...ca arrête pas de chanter pendant tout le match, y a de la bière aussi pendant tout le match, ahaha! Nan, c'était vraiment vraiment bien.

J'ai aussi téléchargé les photos de Bruxelles.

Bon, je vous laisse, demain on prend l'avion super tôt pour New York city, yeah baby!

Bises!